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Agression d'un collégion à Belfort
Un adolescent de 14 ans s'est fait agresser et racketter mardi soir devant le collège Simone Signoret, à Belfort. Son agresseur aurait déjà été identifié.
Le jeune garçon sortait du collège avec un copain lorsqu'un individu cagoulé l'a saisi par le col de son blouson. L'agresseur, étranglant à moitié sa victime, a tiré celle-ci jusqu'au premier étage d'un immeuble situé en face du collège. Menaçant de "planter" l'adolescent, il l'a plaqué contre un mur et lui a volé le contenu de ses poches, soit un téléphone portable neuf et un peu d'argent.
Le jeune garçon ayant réussi à se libérer, il s'est réfugié chez lui, avant d'aller porter plainte au commissariat, accompagné de sa maman.
Le lendemain, cette dernière a mené sa propre enquête en allant interroger le copain qui accompagnait son fils au moment de l'agression : le collégien avait cru reconnaître les vêtements de l'individu cagoulé.
D'après ce témoignage, l'agresseur serait un ancien élève du collège, renvoyé suite à des actes de violence et connu des policiers.
Une confrontation doit être organisée prochainement entre l'agresseur présumé et la victime.
Laure Godey
Le jeune garçon sortait du collège avec un copain lorsqu'un individu cagoulé l'a saisi par le col de son blouson. L'agresseur, étranglant à moitié sa victime, a tiré celle-ci jusqu'au premier étage d'un immeuble situé en face du collège. Menaçant de "planter" l'adolescent, il l'a plaqué contre un mur et lui a volé le contenu de ses poches, soit un téléphone portable neuf et un peu d'argent.
Le jeune garçon ayant réussi à se libérer, il s'est réfugié chez lui, avant d'aller porter plainte au commissariat, accompagné de sa maman.
Le lendemain, cette dernière a mené sa propre enquête en allant interroger le copain qui accompagnait son fils au moment de l'agression : le collégien avait cru reconnaître les vêtements de l'individu cagoulé.
D'après ce témoignage, l'agresseur serait un ancien élève du collège, renvoyé suite à des actes de violence et connu des policiers.
Une confrontation doit être organisée prochainement entre l'agresseur présumé et la victime.
Laure Godey
Publié le jeudi 25 novembre 2010 à 15h31