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Et si Besançon soutenait ses gendarmes?
Au début de l'année 2010, le gouvernement annonçait la suppression de 15 escadrons de gendarmerie sur le territoire français. Parmi les premiers concernés, se trouvent les militaires de Besançon et de Ferrette, dans le sud de l'Alsace.
Dans cette commune, les élus ont rapidement mis en place de nombreuses mesures pour tenter d'empêcher la disparition la gendarmerie.
Maire, préfet, députés... tous se mobilisent pour montrer leur désapprobation face à cette décision gouvernementale, soutenus par les habitants et les commerçants de Ferrette, mais aussi des villages alentours.
Une pétition a été lancée, récoltant 1345 signatures en une semaine. Une cinquantaine de personnes ont manifesté devant la sous-préfecture. Une lettre a même été envoyée au président Nicolas Sarkozy par le député-maire de Ferrette.
A Besançon en revanche, l'annonce de la disparition prochaine de l'escadron de gendarmerie mobile a été accueillie quasimment avec indifférence.
Bien que quelques bisontins semblent regretter cette suppression, ainsi qu'on a pu le voir dans les commentaires de Besac.com et d'autres sites web locaux, aucune mobilisation n'a été entamée. Rien à signaler non plus du côté des élus.
Les habitants de Besançon ne semblent donc pas très concernés par le départ des gendarmes. Il est vrai que cela libèrera quelques appartements, et limitera les contrôles de sécurité routière.
R. Hingray
Dans cette commune, les élus ont rapidement mis en place de nombreuses mesures pour tenter d'empêcher la disparition la gendarmerie.
Maire, préfet, députés... tous se mobilisent pour montrer leur désapprobation face à cette décision gouvernementale, soutenus par les habitants et les commerçants de Ferrette, mais aussi des villages alentours.
Une pétition a été lancée, récoltant 1345 signatures en une semaine. Une cinquantaine de personnes ont manifesté devant la sous-préfecture. Une lettre a même été envoyée au président Nicolas Sarkozy par le député-maire de Ferrette.
A Besançon en revanche, l'annonce de la disparition prochaine de l'escadron de gendarmerie mobile a été accueillie quasimment avec indifférence.
Bien que quelques bisontins semblent regretter cette suppression, ainsi qu'on a pu le voir dans les commentaires de Besac.com et d'autres sites web locaux, aucune mobilisation n'a été entamée. Rien à signaler non plus du côté des élus.
Les habitants de Besançon ne semblent donc pas très concernés par le départ des gendarmes. Il est vrai que cela libèrera quelques appartements, et limitera les contrôles de sécurité routière.
R. Hingray
Publié le lundi 15 février 2010 à 11h35