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Passion amoureuse dans le Haut-Doubs
Dans son dernier roman, l'auteur pontissalien François Bels rend hommage à sa région, faisant de celle-ci le cadre des plus beaux jours d'une passion amoureuse compliquée.
Quelques orages en fin de soirée relate la rencontre puis le début de la relation entre Dzemo, un jeune bosniaque réfugié en France, et Elle, médecin à Paris et originaire de Pontarlier.
Ils sont jeunes, beaux, cultivés, amoureux... mais même dans les romans la vie n'est pas toujours rose : Dzemo est traumatisé par la mort de sa mère, tuée par un obus devant ses yeux. Le grave accident dont sa belle est victime fait ressurgir ses angoisses...
Au-delà d'une réflexion sur la guerre et sur l'amour, ce court roman est un hymne à la culture, à l'émotion que peut susciter un bon livre ou un beau tableau.
C'est aussi un hommage à Pontarlier, ville natale de l'auteur, et à ses alentours : la Loue, Ornans, l'église Saint-Bénigne deviennent le cadre des plus beaux moments d'intimité du couple. Comme une escapade loin du stress de la capitale, loin des horreurs de la Bosnie.
La couverture du roman est d'ailleurs illustrée par une toile de Courbet, sans doute le peintre franc-comtois le plus connu.
Quelques orages en fin de soirée, François Bels. 133 pages
Editions Bénévent, 2010. 13.50 €
Laure Godey
Quelques orages en fin de soirée relate la rencontre puis le début de la relation entre Dzemo, un jeune bosniaque réfugié en France, et Elle, médecin à Paris et originaire de Pontarlier.
Ils sont jeunes, beaux, cultivés, amoureux... mais même dans les romans la vie n'est pas toujours rose : Dzemo est traumatisé par la mort de sa mère, tuée par un obus devant ses yeux. Le grave accident dont sa belle est victime fait ressurgir ses angoisses...
Au-delà d'une réflexion sur la guerre et sur l'amour, ce court roman est un hymne à la culture, à l'émotion que peut susciter un bon livre ou un beau tableau.
C'est aussi un hommage à Pontarlier, ville natale de l'auteur, et à ses alentours : la Loue, Ornans, l'église Saint-Bénigne deviennent le cadre des plus beaux moments d'intimité du couple. Comme une escapade loin du stress de la capitale, loin des horreurs de la Bosnie.
La couverture du roman est d'ailleurs illustrée par une toile de Courbet, sans doute le peintre franc-comtois le plus connu.
Quelques orages en fin de soirée, François Bels. 133 pages
Editions Bénévent, 2010. 13.50 €
Laure Godey
Publié le mercredi 17 novembre 2010 à 10h39