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Danjoutin (90) : Sang pour sang gore
En se montrant parfois violents dès le plus jeune âge, les enfants d'aujourd'hui nous donnent l'impression d'être plus endurcis que les générations passées. Ce qui est peut-être vrai… mais pas au point quand même d'encaisser sans broncher des histoires d'horreur, comme celles qu'un animateur des FRANCAS de Danjoutin, dans le Territoire de Belfort, a eu la "drôle" d'idée de raconter le mois dernier à des bambins d'à peine 6 et 7 ans, à l'occasion du vendredi 13…
Profondément marqués par ses récits de massacres sanguinolents mettant notamment en scène des poupées tueuses, ils sont depuis un certain nombre à manifester des signes de détresse (pipi au lit, cauchemars, peur du noir…) dont se seront bien sûr inquiétés leurs parents, très vite mis dans la confidence.
Suite à leurs multiples plaintes adressées à la direction du centre, il n'aura alors manqué que les aveux du conteur mal inspiré. Lesquels seront tombés la semaine suivante, après plusieurs dénégations. Ce qui a marqué sans grande surprise la fin prématurée de son contrat aidé.
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Profondément marqués par ses récits de massacres sanguinolents mettant notamment en scène des poupées tueuses, ils sont depuis un certain nombre à manifester des signes de détresse (pipi au lit, cauchemars, peur du noir…) dont se seront bien sûr inquiétés leurs parents, très vite mis dans la confidence.
Suite à leurs multiples plaintes adressées à la direction du centre, il n'aura alors manqué que les aveux du conteur mal inspiré. Lesquels seront tombés la semaine suivante, après plusieurs dénégations. Ce qui a marqué sans grande surprise la fin prématurée de son contrat aidé.
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Publié le mardi 3 mars 2015 à 10h37